Rédactrice Web | Un métier idéal pour les mamans ?
Charlotte Blieck et la rédaction WEB
Dans ce nouvel épisode de “T’es pas toute seule”, j’ai eu le plaisir d’accueillir Charlotte Blieck, rédactrice web, avec qui je collabore depuis presque 4 ans. Elle optimise mon site internet pour en améliorer le référencement naturel. Si tu es entrepreneuse, tu as déjà certainement entendu parler de ça ! Durant ce podcast, on a parlé changement de vie, reconversion professionnelle et comment combiner au mieux vie de maman et entrepreneuriat. On a aussi parlé optimisation de texte web et intelligence artificielle… Je vous laisse découvrir tout ça et pour écouter l’épisode dans son intégralité, rendez-vous sur mon compte Insta @julie_arcoulin où vous trouverez tous les liens utiles en bio !
Qui est Charlotte Blieck ?
Charlotte, qui vient tout juste de fêter ses 40 ans (et qui le vit très bien d’ailleurs 😉) est l’heureuse maman de 3 enfants âgés de 12, 8 et 2 ans. Elle est Belge et a vécu en Belgique jusqu’à ses 35 ans avant de faire un grand saut avec sa famille. Fin 2019, ils ont décidé de s’installer dans le Sud de la France près de Montpellier, dans le Bassin de Thau. Ce changement de vie a aussi marqué un tournant dans sa vie professionnelle. Après des années dans le tourisme et la décoration en tant qu’assistante commerciale, elle a eu envie de se réinventer. C’est à ce moment-là qu’elle a décidé de se lancer dans une nouvelle aventure : la rédaction web.
Aujourd’hui, Charlotte est donc rédactrice web SEO. Alors, c’est quoi exactement ? Eh bien, Charlotte s’occupe de tout ce qui touche à la rédaction pour le web : le contenu des sites internet, les articles de blog et plus largement tout ce qui permet d’améliorer le référencement naturel des entreprises sur Google. Son rôle ? Aider les sites à se hisser en haut des résultats de recherche grâce à un contenu de qualité et optimisé. Elle collabore aussi avec des agences de marketing digital pour rédiger des posts pour les réseaux sociaux. Attention, elle ne fait que de l’écrit : pas de visuels, pas de community management ou de publicités payantes. Son truc, c’est le contenu rédactionnel pur et dur pour booster la visibilité de façon naturelle.
Pourquoi la notion de rédaction web est-elle importante en entrepreneuriat ?
Aujourd’hui, il ne suffit plus de bien faire son métier pour réussir ; il faut aussi être visible ! Et souvent, cela passe par un site internet ou une présence active sur les réseaux sociaux. Mais attention, être visible en ligne, ce n’est pas automatique : il y a tout un travail de fond pour rendre son contenu compréhensible et attrayant, aussi bien pour les internautes que pour Google.
Dans notre collaboration, Charlotte intervient pour optimiser les textes que je rédige. Concrètement, cela veut dire structurer mes articles avec des titres (les balises H1, H2, H3, etc.), placer certains mots clés à des endroits stratégiques et s’assurer que Google puisse facilement comprendre le sujet de mes contenus. Parce que c’est seulement si Google “comprend” bien le site qu’il peut le proposer comme réponse aux recherches des internautes.
En fait, derrière chaque recherche Google, il y a tout un processus complexe. Beaucoup de gens ne réalisent pas pourquoi un site apparaît en premier et un autre pas du tout. Pourtant, cela dépend en grande partie du travail de rédaction et d’optimisation qui a été fait en amont.
Ce qui est impressionnant, c’est que ce métier évolue sans cesse. Google met régulièrement à jour ses algorithmes parfois en privilégiant des contenus sponsorisés et d’autres fois, en revenant à des contenus naturels rédigés par des humains. Google cherche aussi désormais à mieux détecter les textes générés par intelligence artificielle pour valoriser ceux qui viennent d’un vrai travail humain.
Bref, comme l’a dit Charlotte, tout cela montre à quel point le SEO est devenu incontournable. Ce n’est pas seulement un “plus” pour les entrepreneurs d’aujourd’hui, c’est une nécessité pour être visible dans un monde où presque tout se joue en ligne.
Pourquoi se reconvertir professionnellement ?
Pendant dix ans, Charlotte a travaillé comme assistante commerciale dans une entreprise du secteur de la décoration. C’était un environnement agréable : une chouette équipe, un patron compréhensif et un poste où elle se sentait bien. Mais c’était aussi devenu une routine… Comme Charlotte l’explique : « Ce n’est pas que ça ne me plaisait plus, mais j’étais vraiment rentrée dans une routine. Je faisais mon boulot parce que c’était comme ça, c’était simple.»
C’est un sentiment que beaucoup d’entre nous ont peut-être connu : ce moment où tout va bien, mais où, au fond, il manque quelque chose… Charlotte a senti qu’elle avait besoin de changement, mais sans le déménagement dans le Sud, elle serait probablement restée dans cette zone de confort. Ce changement de vie a été une opportunité de tout remettre à plat. Pour elle, ce n’était pas juste une question de trouver un nouveau travail, mais de faire quelque chose pour elle-même.
C’est ainsi qu’elle a décidé de repenser entièrement son avenir professionnel. Elle ne savait pas exactement ce qu’elle voulait faire, mais une chose était claire : elle voulait “faire quelque chose pour elle” et c’est ainsi qu’un bilan de compétences l’a menée vers l’entrepreneuriat, avec toutes ses montagnes russes. 😊
Comment ça se passe quand on débute dans l’entrepreneuriat ?
Quand on débute dans l’entrepreneuriat, ce qui ressort le plus, c’est à quel point il faut apprendre à jongler entre nouvelles compétences, syndrome de l’imposteur et démarches commerciales.
Quand elle a décidé de se lancer comme rédactrice web, Charlotte s’est vite rendu compte qu’elle aurait besoin d’une formation pour se sentir légitime. Aller chercher des clients sans certification, sans quelque chose d’un peu “officiel”, c’est souvent compliqué pour les jeunes entrepreneur.e.s. Elle a donc suivi la Formation Rédaction Web de Lucie Rondelet qui lui a apporté des bases solides en rédaction, mais aussi une vraie prise de conscience sur ce qu’implique le fait d’être auto-entrepreneur : « Dès la première vidéo, Lucie te met dans le bain : il va falloir prospecter, gérer ta compta, t’organiser. Ça m’a frappée, parce que je n’y avais pas pensé avant de commencer. »
Le syndrome de l’imposteur, très courant chez ceux qui se lancent, a aussi été un obstacle. Charlotte m’a expliqué qu’il s’est atténué avec l’expérience et le temps : « Quand j’ai eu mes premiers résultats à montrer, des sites qui apparaissaient en première position sur Google, là je me suis sentie plus légitime. »
Aussi, au départ, démarcher des clients n’était pas naturel pour elle… Malgré son expérience comme assistante commerciale, elle n’avait jamais eu à « se vendre elle-même ». Mais elle s’est adaptée. LinkedIn est rapidement devenu son outil principal pour se connecter à des clients potentiels. Elle a créé un beau profil et finalement, ce sont les clients eux-mêmes qui sont venus la contacter.
L’été 2022 a marqué un tournant dans sa façon de prospecter. Plus confiante grâce à son portfolio et ses premiers résultats, elle s’est fixé un objectif quotidien : contacter un ou deux clients. Elle recherchait des entreprises dans des domaines qui la passionnent comme l’enfance, l’organisation ou la déco et elle envoyait des propositions de collaboration en expliquant ce qu’elle faisait et que ça pouvait peut-être les aider à être plus visibles, etc.
« Il y a des gens qui ne te répondent pas, d’autres qui te disent qu’ils n’ont pas besoin de toi et parfois, il y en a qui trouvent ça intéressant… Ces petits contrats obtenus comme ça m’ont beaucoup aidée à avancer ! »
Le démarchage client, c’est un apprentissage et Charlotte est la preuve vivante qu’avec de la persévérance et une bonne stratégie, on peut surmonter cette étape qui fait peur à beaucoup d’entrepreneurs !
L’entrepreneuriat est une aventure quotidienne ! Tu as envie de passer à l’action, mais tu ressens un blocage ? Tu veux démêler les nœuds ? Tu veux enfin OSER ? Je peux t’accompagner ! Découvre vite mes séances Coup de Boost et Level Up !
Salariat VS entrepreneuriat : quelles sont les principales différences ?
Charlotte m’a expliqué que, pour elle, l’une des plus grandes différences entre le salariat et l’entrepreneuriat réside dans la peur de ne pas avoir de revenus réguliers. Dans le salariat, le salaire est garanti à la fin du mois, mais en tant qu’entrepreneur, ce n’est pas le cas… Si un client ne paie pas ou si aucun contrat n’est signé, il n’y a pas de rentrée d’argent. « Quand on se lance, c’est ça la grosse différence. Pas de clients, pas de boulot, pas de revenu. C’est une peur constante au début. » Pour gérer cette incertitude, Charlotte a diversifié ses sources de revenus. Aujourd’hui, elle travaille avec des agences de marketing digital sur des contrats annuels, ce qui lui permet de savoir qu’une partie de son salaire est assurée pour l’année.
Une autre différence importante est la gestion des vacances. Dans le salariat, les congés sont payés… « Au début, je partais en vacances avec mon ordinateur et je continuais à travailler. Je n’ai pas eu de vraies vacances pendant deux ans. Maintenant, je m’organise autrement. » Charlotte a appris à planifier ses vacances en amont, soit en prévenant les clients qu’elle ne pourra pas travailler (même si ça occasionne une petite perte de revenus), soit en travaillant davantage avant de partir pour être à jour.
Mais l’un des aspects les plus appréciés du travail indépendant est la liberté d’organisation. Charlotte aime pouvoir travailler à son rythme, même si cela signifie parfois travailler le week-end ou en vacances. « Tu t’organises comme tu veux, mais du coup, t’as l’impression de toujours bosser, même quand tu ne fais rien. » Elle reconnaît que son entreprise est comme un « bébé » auquel elle pense constamment, mais en fait, quand on aime ce qu’on fait, même les moments où on pense au travail en dehors des heures de bureau ne sont pas pesants. D’où l’importance de faire quelque chose qui te fait vibrer ; il faut “avoir des papillons dans le ventre” quand on pense à ce qu’on fait !
Comment nourrir sa créativité ?
En tant qu’entrepreneur ou entrepreneuse, on a souvent une part créative à développer, même si notre métier n’est pas directement lié à l’art ou à la création. Que l’on propose des services ou des produits, la réflexion sur la manière de vendre, de communiquer et d’attirer des clients exige de la créativité. C’est un aspect souvent sous-estimé, mais ô combien dans le parcours entrepreneurial.
J’ai posé à Charlotte la question de savoir comment elle nourrissait sa créativité dans son métier de rédactrice web… Elle m’a expliqué qu’elle s’inspirait énormément de ce que faisaient les autres (sans jamais copier !). Cela se passe souvent sur les réseaux sociaux où elle observe les tendances et ce qui plaît aux gens. Mais ce n’est pas tout : Charlotte nourrit sa créativité en s’imprégnant des discussions qu’elle a avec les autres. “J’adore discuter avec des gens, écouter ce qu’ils disent. Parfois, dans une conversation, une idée me vient. Je me dis ‘Ah, ça, c’est une question intéressante ! Et si j’en parlais dans un article ?’”
C’est en échangeant avec les autres, en écoutant leurs préoccupations, leurs questionnements, que Charlotte trouve souvent des idées pour ses articles. Aussi, pour alimenter sa réflexion, elle préfère souvent interroger directement les gens autour d’elle plutôt que de se fier uniquement aux outils numériques. Par exemple, avant de rédiger un article, elle demande à son mari quelles questions il poserait sur Google s’il recherchait un sujet particulier.
L’intelligence artificielle : un outil utile, mais pas sans précautions !
Lors de notre discussion, Charlotte m’a partagé son point de vue sur l’intelligence artificielle, un sujet qui suscite beaucoup de débats dans le monde du travail… Bien qu’elle ne déteste pas l’IA, elle reste prudente et préfère l’utiliser principalement comme “un assistant”, mais jamais comme une source principale. Par exemple, elle la sollicite pour reformuler une idée ou pour briser le fameux syndrome de la page blanche : “Quand je coince, je vais sur ChatGPT, je lui demande de me proposer des idées et parfois, ça m’ouvre des portes.” Cependant, elle souligne qu’elle ne fait jamais de copier-coller des réponses de l’IA. Elle préfère toujours les ajuster, y ajouter sa touche personnelle et surtout vérifier les informations, car elle a constaté que les réponses de l’IA sont parfois superficielles ou erronées.
Un autre point soulevé par Charlotte est l’impact de l’IA sur l’authenticité. Lorsqu’elle navigue sur les réseaux sociaux, elle arrive facilement à repérer les contenus créés par l’IA à cause de leur style uniformisé. Les phrases répétitives, l’utilisation excessive d’émojis et le vocabulaire souvent simpliste ou stéréotypé sont des signes évidents pour elle !
Finalement, Charlotte voit l’IA comme une aide précieuse, mais elle insiste sur le fait qu’elle préfère l’humain à la machine. “Je milite pour que l’humain reste à l’origine de ce qu’il propose, de sa communication, de ce qu’il dit aux gens.” Elle considère que, même dans un monde de plus en plus digitalisé, il est important de garder une dimension humaine dans son travail. On va devoir apprendre à travailler avec l’IA, mais avec discernement et en restant fidèles à soi-même !
L’entrepreneuriat et la maternité : trouver son équilibre
En tant que rédactrice et maman, Charlotte a dû trouver un équilibre entre ses responsabilités professionnelles et familiales, et ce n’est pas toujours facile. Charlotte m’a expliqué que pendant deux ans, elle a cherché la méthode qui lui convenait le mieux pour concilier travail et vie de famille. Et finalement, elle a trouvé un système qui fonctionne pour elle. Pour Charlotte, la clé de la productivité est de se concentrer à 100 % sur une tâche à la fois. Au début, elle a essayé de travailler tout en s’occupant de ses enfants à la maison, mais elle s’est vite rendue compte que ce n’était pas viable. “Tu ne fais rien de bien, tu es tout le temps stressée et tu culpabilises” dit-elle.
Aujourd’hui, Charlotte a trouvé une méthode qui lui convient mieux : un emploi du temps bien défini et structuré. Elle planifie son mois à l’avance, en mettant l’accent sur les priorités professionnelles, tout en laissant de la marge pour les imprévus. Elle bloque des créneaux complets pour le travail quand ses enfants sont à l’école ou à la crèche. C’est son moment pour être 100 % concentrée sur son travail, sans interruption.
Elle a également appris à s’adapter en fonction de l’évolution de ses enfants. Quand son plus jeune était bébé, il dormait beaucoup et Charlotte en profitait pour travailler. Aujourd’hui, avec un enfant qui grandit, elle doit s’adapter aux nouvelles routines, comme la sieste de l’après-midi qui devient le seul moment propice pour avancer sur ses projets.
Charlotte insiste également sur le fait qu’il n’y a pas de méthode universelle. Chaque “mompreneuse” doit trouver sa propre manière de faire en fonction de son propre rythme, de sa productivité personnelle et de sa situation. Puis, ce qui est valable pendant un moment ne l’est plus forcément quand les enfants grandissent. Il est donc important de rester flexible et de s’adapter aux changements !
L’entrepreneuriat, c’est faire des choix !
L’entrepreneuriat, c’est aussi une histoire de choix. Charlotte m’a expliqué qu’il y a des moments où, même si elle pourrait prendre plus de travail ou de clients et ainsi gagner davantage, elle préfère parfois faire un choix stratégique pour préserver son équilibre personnel et professionnel. Pourquoi ? Parce que, pour elle, il est essentiel de se laisser de la marge : du temps pour les imprévus, mais aussi du temps pour elle-même.
Elle évoque la nécessité de ne pas trop se surcharger, de peur de s’épuiser. Ce genre de décision n’est pas toujours facile, surtout lorsqu’on sait que chaque opportunité peut être lucrative, mais Charlotte a compris que le temps et le bien-être personnel sont des ressources précieuses. Le risque, selon elle, c’est de trop en faire et de finir par ne rien faire correctement…
Le mythe de la mompreneuse avec le bébé sur les genoux
L’image de la mompreneuse en train de travailler avec le bébé sur les genoux à sourire tout en jonglant entre son ordinateur et son rôle de maman, ça fait rêver, mais c’est loin d’être la réalité ! Charlotte l’a bien observé et c’est un sujet qu’elle a voulu aborder d’entrée : derrière les publicités qui vantent la liberté de travailler d’où on veut, souvent accompagnées de scènes idylliques à la plage ou à la maison avec un enfant à ses côtés, il y a bien plus de complexité !
Elle souligne qu’il ne faut pas se lancer dans l’entrepreneuriat dans l’espoir de profiter plus de ses enfants, il faut le faire parce qu’on a une passion pour son métier. C’est une grande réalité de l’entrepreneuriat : on peut s’organiser comme on veut, mais cela ne veut pas dire qu’on travaille librement sans contraintes. L’entrepreneuriat n’est pas un travail sans engagement. Il est essentiel de ne pas culpabiliser quand on choisit de déléguer certaines tâches (comme la garde des enfants ou l’aide ménagère) pour pouvoir se concentrer sur son activité professionnelle à 100 %. “C’est un vrai boulot,” dit-elle, et il faut s’en rappeler !
Des conseils pour se lancer dans l’entrepreneuriat ?
Si Charlotte avait un conseil à donner à quelqu’un qui se lance dans l’entrepreneuriat, ce serait de suivre des personnes qui partagent leur expérience dans le domaine, de suivre des conseils pratiques d’entrepreneurs expérimentés sur les réseaux sociaux, non seulement pour apprendre des réussites, mais aussi pour comprendre les difficultés et les montagnes russes émotionnelles qui font partie de l’aventure entrepreneuriale.
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Elle recommande aussi vivement de se former. Même si, dans son cas, elle a beaucoup appris sur le tas, notamment en proposant des articles bénévoles pour des sites ou en lançant son propre blog, Charlotte a trouvé que les formations professionnelles apportent un réel plus et une sensation de légitimité pour la suite de l’aventure.
T’es pas toute seule à…
La fameuse dernière question que je pose à toutes mes invitées : “T’es pas toute seule à quoi ?”. Ce à quoi Charlotte répond : “Tu n’es pas seule à avoir mille idées à la seconde !” En entrepreneuriat, c’est courant de vouloir se lancer dans plein de projets différents. Elle, par exemple, rêve d’écrire un livre, de se lancer dans l’artisanat ou même de vendre des produits en ligne, mais elle insiste sur le fait qu’il faut prendre son temps pour réaliser ses idées et ne pas se décourager si elles ne se concrétisent pas tout de suite.
Elle nous rappelle aussi que l’échec n’est pas une fin : même si on ne va pas jusqu’au bout d’un projet, on apprend toujours quelque chose qui nous servira plus tard. Ne pas écouter les autres est aussi important. Parfois, ceux qui ne prennent pas de risques ou qui ne comprennent pas l’entrepreneuriat peuvent être décourageants !
Pour elle, l’entrepreneuriat, c’est un long parcours… Au début, il faut accepter que tout prenne du temps pour se mettre en place. Aujourd’hui, après trois ans et demi d’aventure, elle se sent enfin à l’aise dans son activité. Mais elle insiste : il faut être patient !
Encore un grand merci à Charlotte pour cet échange très spontané ! Pour retrouver l’intégralité de l’interview, rendez-vous sur les plateformes de streaming ou cliquez directement sur le lien dans ma bio Instagram @julie_arcoulin 😉 !
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